Le XXIème siècle sera-t-il empreint de spiritualité ou disparaitra-t ‘il ?
C’est en substance, la question que posait Flaubert, à propos du précédent dans « Bouvard et Pécuchet ››
Arrivé pratiquement à son quart , notre époque se révèle plus par sa violence quotidienne que par des marques d’aspirati0ns à l’élévation personnelle ou collective.
Les agressions, largement médiatisées, y sont copieusement exposées chaque jour.
Parfois en des termes ou images qui frisent l’indécence, voir le voyeurisme.
Agressions, violences.
Bien sûr on pense instantanément aux conflits Russie -Ukraine, Israël-Palestine et d’autres par le monde.
Aux génocides perpétrés, aux victimes civiles.
Au vu et au su de la communauté internationale
Suivent de près les scandales de viols, d’agressions sexuelles commis par quelque célébrité, des coups reçus par le sexe faible, de plus en plus fréquents.
Autant de désordres honteux y compris dans l’Église.
Gamins harcelés, gamins tabassés, gamins suicidés, gamins abusés, sorties de « boîtes ›› agitées.
Malaise d’une société.
Une dette augmentée.
Avec monsieur Lemaire qui, dans son arrogance et sa morgue , nous explique que nous en sommes responsables, alors qu’il gère nos finances depuis bientôt dix ans.
Ultime agression. Ultime lâcheté.
ll va continuer à taper sur ceux qui n’ont aucun moyen de se défendre .
Ses amis, les nantis, resteront à l’abri de l’effort national im-
posé aux autres.
Ici commence une forme de violence qui n’ose pas
dire son nom !